Archive for the ‘géopolitique’ Category
Atlantisme
Un an après l’élection présidentielle, on comprend mieux aux fruits ce qu’était l’arbre, Tout part de la campagne de presse contre Fillon, est ce la seule vertu publique qui la inspirée où une part du programme du candidat qui a déclenché des forces profondes contre lui ?
Quand on essaie de comprendre, on ne voit qu’un seul thème du candidat qui le demarquait sérieusement, sa volonté de se rapprocher de la Russie,
On le perçoit mieux aujourd’hui â travers certains événements comme la visite à Trump, la réaction devant l’affaire de l’agent double que les russes auraient tenté d’éliminer, l’intervention en Syrie.
Fillon a été éliminé pour sa vision stratégique sur l’Europe, le risque de basculement qu’il présentait.
C’est Macron, qui se trouvait du bon côté de la plaque tectonique qui la emporté.
Luttes
En Orient, chaque faction se réclame de la religion, seul liant possible, et l’occident disqualifie certains de ses adversaires, en insistant sur le caractère forcément intégriste de leur religion, même s’ils n’en ont pas l’exclusivité, dans une manipulation des medias où cet argument est une sorte d’arme fatale.
World war Z, un roman d’anticipation intelligent
La différence entre l »horreur et la science-fiction, c’est que l’histoire d’horreur va jouer sur l’épouvante, quitte à demander une suspension du jugement jusqu’à accepter le surnaturel, alors que le livre de science-fiction essaie de voir tous les impacts sur une société d’une technologie ou d’une situation nouvelle.
World war n’est donc pas un simple livre de zombies, mais une interrogation sur ce que deviendrait notre monde en cas de crise majeure, comme celle provoquée par l’irruption d’une maladie qui transforme les humains en zombies.
Il montre le bouleversement géopolitique, le bouleversement des hiérarchies, y compris sociales, et le retard d’une guerre du militaire en raison d’une trop grande sophistication des armes et des liaisons.
World war est constitué d’une série de chroniques courtes, ou un représentant de chaque peuple intervient et raconte sa guerre, dans un style réaliste et journalistique qui fait sa force.
Au contraire de Globalia, dystopie qui m’a déçu, c’est un livre qui restera dans les annales comme d’autres tels que 1984, un bonheur insoutenable ou fondation.
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