triton95

un regard sur le monde

Archive for septembre 2005

le poids de l’Etat

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Petits conseils Sous le Tapie Jacques le Petit Les Stock-options La Grande Méprise

intéressant cet article du monde qui fait remarquer que le poids de l'Etat n'a pas augmenté en 25 ans, et que l'augmentation des dépenses publiques provient du budget social, santé et retraites.

c'est notre vie trop longue, et notre individualisme que nous payons, non nos services collectifs.

l'an prochain, année blanche pour les recrutement, mais cela ne fera que relancer le chômage

 

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27 septembre 2005 at 18:04

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les corneilles

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un gentilhomme d'un siècle passé avait construit un mur pour empêcher les corneilles de passer, mais cela ne vous rappelle-t-il pas toutes les mesures anti échanges de fichiers sur le net ?

Enfants, nous prêtions nos livres, nous enregistrions des disques et chansons sur cassettes, le net est la poursuite de cet échange. On ne peut passer au tout commercial dans ce domaine, la culture a besoin d'échanges, même si c'est par le net, parce que nous avons moins de contacts l'âge adulte venu?

Ce qui gêne réellement, c'est que le domaine commercial a régressé, alors qu'il a vocation à recouvrir nos vies jusqu'à l'air que nous respirons. C'est cette atteinte à l'extension du domaine du commerce qui poste problème à certains.

 

 

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25 septembre 2005 at 05:04

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le prix des nike

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Daniel Cohen : "On achète autant l'image, le concept, que le produit lui-même"
LE MONDE | 15.08.05 | 13h35

ans son récent ouvrage, La Mondialisation et ses ennemis (Grasset, 2004), Daniel Cohen, professeur d'économie à l'Ecole normale supérieure et éditorialiste associé au Monde , décortique le prix d'une chaussure Nike.

"Considérons en détail le prix d'une paire [de chaussures Nike] appelée "Air Pegasus". Elle est vendue 70 dollars, à peu près autant d'euros. Première question : combien gagne celui ­ plus probablement celle ­ qui la fabrique ? Réponse 2,75 dollars. (…) Quoi que l'on apprenne du reste de la structure des coûts, rien n'empêchera de faire le calcul simple : qu'est-ce que cela coûterait au consommateur final de doubler le revenu de ceux qui fabriquent les chaussures ? Serait-ce si grave d'acheter 72,75 dollars au lieu de 70 dollars la même paire de chaussures ?

Continuons de décliner la structure des coûts, nous ne sommes pas au bout de nos surprises. Pour fabriquer une chaussure, il faut non seulement du travail mais de la matière première : du cuir, du caoutchouc… Il faut également acheter des machines, louer des entrepôts, rémunérer les capitaux investis. Il faut ensuite l'exporter. En chiffres bruts, la paire de baskets coûte finalement à Nike 16 dollars.

Le mystère reste, à ce stade, quasiment intact. Comment passe-t-on d'un coût de fabrication qui s'élève à 16 dollars aux 70 dollars vendus au client ? La réponse vient en deux temps. Nike, tout d'abord, engage des campagnes de publicité phénoménales. Le coût de la promotion par paire de chaussures (qui inclut le salaire des stars et les campagnes de publicité proprement dites) s'élève à 4 dollars.

S'y ajoutent le travail des agents de l'entreprise Nike stricto sensu (l'administration, les représentants…), ainsi que les dépenses en capital de la firme, paiement des investissements, coûts de stockage et rémunération des actionnaires. Il n'est pas inutile de signaler ici que Nike n'est pas une entreprise particulièrement rentable. Le retour sur investissement s'élevait en 2001 à 10 %.

Au total, le prix de gros de la paire de chaussures, celui auquel Nike la vend aux distributeurs, est passé à 35,50 dollars. L'écart qui fait ici doubler le prix vient du coût de la distribution, qui permet de la mettre au pied de l'acheteur final. Il faut rémunérer le personnel qui en assure la vente. A quoi s'ajoutent la location des lieux de vente, la rémunération du capital investi par le revendeur qui inclut ici encore la rémunération des investissements, des frais de stockage et celle des actionnaires…

Il est dès lors possible de résumer ces chiffres de la manière suivante. Un objet comme l'"Air Pegasus" de Nike coûte autant à fabriquer comme objet physique que comme objet social : les dépenses de promotion faites par Nike coûtent aussi cher que sa fabrication en Indonésie. Au vu de ces chiffres, on peut dire qu'on achète autant l'image, le concept, que le produit lui-même. Et puis, troisième étage de la pyramide, il coûte aussi cher de mettre la chaussure au pied du consommateur qu'il en a coûté à la fabriquer au sens plein du terme."

Article paru dans l'édition du 16.08.05

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11 septembre 2005 at 10:16

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du mythe à la mythomanie : notre BB

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Brigitte Bardot a écrit vendredi au président américain George W. Bush pour dénoncer "la situation insupportable" des animaux abandonnés dans la zone frappée par le cyclone Katrina.

Dans cette lettre dont une copie a été obtenue par l'AFP à Washington, Mme Bardot évoque "les propriétaires d'animaux contraints d'abandonner leurs compagnons dans les maisons, les cours, parfois encore attachés à leur niche".

"Cette situation est insupportable, déchirante pour les sinistrés et cruelle pour les animaux abandonnés à une mort lente mais certaine", s'indigne l'actrice.

"Je sais que la solidarité s'organise pour venir en aide à ces victimes sans voix", écrit-elle. "C'est formidable" mais "cela n'est pas suffisant pour sauver les animaux abandonnés", ajoute-t-elle en regrettant que "les associations qui oeuvrent sur le terrain, comme la Humane Society of the United States (société protectrice des animaux américaine, ndlr), ne soient pas autorisés à accéder aux différents sites".

Mme Bardot demande au président Bush de permettre aux défenseurs des animaux "de pouvoir intervenir pour venir au secours de ces milliers d'animaux" qui, rappelle-t-elle, sont "des membres de la famille à part entière" pour "un grand nombre d'Américains

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11 septembre 2005 at 10:05

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pour aujourd’hui une citation à méditer

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"L'existence humaine ressemble à une représentation théâtrale qui, commencée par des acteurs vivants, serait terminée par des automates revêtus des mêmes costumes."

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3 septembre 2005 at 14:47

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